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SALUT LE MONDE

5 mai 2010

château rouge

salut   pour ce que nous avons  appelles les quartiers black en France  on dirait bependa a Douala  yop en cote d ivoire ou encore grand Dakar  au a Dakar  bien venue a château rouge en plein  en plein centre de paris le 18emme comme on dit ici est le quartier de monsieur tout le monde et bien subdivisée   le coin des arabes  représentéparis_africanmarket par le  l algerie avec la vente de cigarette  la vente a la sauvette c est le propre des congolais et des camerounais   et des sénégalais  dans tout ce genre rencontré  il ya les chinois dans la vente des produits alimentaire exotique venu d afrique  ou les classer salut a tous   

 

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5 mai 2010

internet en afrique

Le Burkina Faso remporte le premier prix deL'Afrique pour la meilleure présence gouvernementale sur l'internet en 2007

Le gouvernement burkinabè se présente efficacement au monde et n'oublie pas d'offrir des services à ses citoyens

La Rédaction, letat.com
Le Burkina Faso . com

1 mai 2007
Ouagadougou, Le Burkina Faso

La Semaine . com

Il y a quelques années, voire quelques mois, le paysage des sites gouvernementaux africains constituait un véritable désert. Maintenant, la plupart des gouvernements africains se sont lancés dans la grande aventure du web. Certains ont fait des progrès louables, alors que plusieurs n'ont pas eu la vision de faire un effort égal à l'occasion.

La plupart des leaders africains n'appartiennent pas à la jeune génération qui passe l'après-midi devant l'écran d'un ordinateur, mais ils devraient comprendre l'opportunité incroyable qu'offre l'internet. Si les médias traditionnels ont toujours calomnié l'Afrique, sans lui donner la parole pour qu'elle puisse se défendre, l'internet incarne la justice. On ne peut plus dire n'importe quoi en sachant la vérité être insaisissable.

En effet, les africains ont pris la parole sans attendre qu'on leur tient le micro. En éditant des articles pour exprimer leur point de vue, en partageant des photographies de l'Afrique qu'ils connaissent, et même en diffusant des vidéos, la plupart des gouvernements africains ont su engager le pouvoir communicatif de la Toile.

On peut même faire le rapprochement entre l'efficacité d'un gouvernement et l'action de sa présence internet. Pour ne considérer que deux exemples, on cite le Rwanda et la Guinée. Le premier se vante d'un beau site, très fréquemment mis à jour, qui fonctionne bien. Or, en plus d'avoir mis fin à un génocide, le gouvernement rwandais chapeaute le pays le plus nettoyé du continent. Les policiers, eux, s'ils ne touchent pas de grands salaires, n'acceptent pas pour autant les pots-de-vin. Les soldats n'extorquent jamais la population.

Quant à la Guinée, ses soldats ont récemment massacré des centaines de civiles lorsque ces derniers se sont mis à manifester contre la criminalité qui régnait dans le gouvernement. Or, s'agit-il d'une coincidence que le site de ce gouvernement n'a pas été mis à jour depuis 1999?

À cause de la confiance qu'inspire un excellent site, quand on constate l'action des sites gouvernementaux burkinabè, on se demande des questions à propos de ce pays, surnommé "le pays des hommes intègres". Le Faso, offre-t-il des occasions pour l'investisseur?  Ou le touriste? Ou la personne à la retraite voulant déménager à un climat tropical?

Ce n'est pas un seul site qui lui a valu le premier prix deL'Afrique. C'est que le présidentl'assemblée nationale, etchaque ministère ont leur propre site. Tous sont fréquemment mis à jour, mais surtout, ils transmettent des informations bien organisées qui se rapportent à la vie du citoyen. Ces sites sont beau, sans devenir des œuvres d'art inflexibles et impraticables, comme c'est le cas pour certains.

La conception des sites burkinabè permet la présentation de photographies constamment mises à jour, même sur la page principale. Voilà une avantage majeur sur les sites des autres gouvernements. Toutefois, il y a un petit problème: les webmaîtres burkinabè n'ont pas bien taillé les images.

Dans l'intention de signaler des carences, sans pour autant faire preuve d'un manque de respect, les photos qui accompagnent cet article contiennent des critiques sur les sites de gouvernements africains francophones.

 

4 mai 2010

drôle de démocratie dans le monde

ce jour je suis tres remonté  contre cette démocratie  a deux vitesses creer par les occidentaux  

 journée  mondial de la presse le seul  bourreau  de toute la presse occidental reste  une fois de plus le président  Iranien  ce qui a un gout de déjà vu  en Afrique francophone  il n y a pas un seul jour qu un  journaliste n est mis en prison et voir tué pae les autorités  ,la dernière en date est  le journaliste tué au Cameroun  officieusement et officiellement mort d une infection du SIDA   pas un seul mots ce jour en Europe pour rendre hommage a se digne journaliste qui ne faisait que son travaille  comme si la vie d un journaliste  africain était inférieur  a  celle d un journaliste iranien

 ceci me ramène a une pense antérieur après les élections du président   iranien  les faiseurs de démocraties se sont  levésafrique comme un seul homme pour revendiquer le caractère anti démocratique des élections ils  ont cité  comme d ,habitude toutes les irrégularités constatées  lors de cet élection  alors que quelques mois plus tôt les mêmes faiseurs de démocratie intronisaient le successeur de du roi d Afrique central  selon une démocratie taillée a la mesure de ce cantinant noir     

 

4 mai 2010

50 ANS APRES

Colloque de Conscience économique Africaine :Après 50 ans d’indépendance, un renouveau économique s’impose 

50 ans après le Bénin peine à décoller sur le plan économique. Le président du Conseil d’administration de l’Ong, Conseil économique africaine, Expédit Houessou, semble avoir la recette. Hier, il a sonné à travers un colloque organisé au Palais des congrès de Cotonou, le renouveau économique, permettant le décollage économique de notre pays. Eminentes personnalités ont marqué de leur présence à cette rencontre qui se veut périodique.


« Après 50 ans où le Bénin à accéder à la souveraineté nationale, il serait peu réaliste de dire que les pays colonisés ont réellement acquis leur indépendance. Le constat dans l’espace francophone, est que le bilan est centré sur le rapport avec le colonisateur. La métropole nous a donné notre administration, mais elle a pris notre économie ». Qu’avons- nous fait des 50 ans de notre indépendance ? C’est la question qui a préoccupé l’administrateur en gestion d’entreprises, Expédit Houssou qui a réuni des historiens, des hommes de cultures et scientifiques, autour d’un colloque ,au cours duquel la question a été débattue. Le président du conseil d’administration constate que les luttes d’émancipation, les convulsions qui ont marqué la construction des jeunes Etats indépendants et les rêves de développement, n’ont pas pu combler les attentes des africains, après les 50 années d’indépendances. L’heure est au bilan presque dans les 17 pays. Le Bénin, selon le président ne peut rester en marge de ce bilan, parce qu’au lendemain des indépendances, il avait porté de grand espoirs de prospérité. Malheureusement des crises politiques successives et instabilités ont conduit regrette-il, à un état des lieux qui contrastent avec les espérances. Expédit Houessou rappelle qu’en 50 ans d’indépendance, le Bénin a connu 11 présidents contre trois pour le Sénégal. Le renouveau démocratique entamé depuis 1990, peine aussi à mettre fin aux problèmes de gouvernance, et semble ne pas réussir à faire émerger un leadership qui motive l’espérance. Malgré les changements de leaders à la tête du pays, le Bénin n’a pas décollé sur le plan économique. C’est le combat que s’engage à mener Conscience économique africaine, pour le renouveau économique de l’Afrique. Le colloque d’hier marque le départ de ses activités. Pour Expédit Houessou le combat pour les 50 prochaines années est de : renforcer nos entreprises locales en systématisant la consommation par l’Etat des produits fait sur place, fluidifier le fonctionnement de nos administrations. « Nous devons nous organiser pour produire collectivement et gaspiller moins », a préconisé Expédit Houessou. Le professeur Pierre Mètinhoué a fait une étude sur l’acquisition, la gestion et la perte du pouvoir au Dahomey- Bénin de 1960à 2009 et Emmanuel Guidibi a présenté le thème : Quel leadership pour le renouveau cinquantenaire ? Expédit Houessou s’engage à aider les gouvernants mais se refuse d’être d’une chapelle politique.

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SALUT LE MONDE
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